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Monday, June 4, 2012

Pour une fois dans ma vie, j'ai commencer à m'aimer et...



...j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j'ai pu me relaxer.Aujourd'hui je sais que ça s'appelle..... Estime de soi

...j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n'étaient rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd'hui je sais que ça s'appelle..... Authenticité

...j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle.

Aujourd'hui je sais que ça s'appelle.... Maturité

...j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment... Aujourd'hui je sais que ça s'appelle..... Respect

...j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire : personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.

Aujourd'hui je sais que ça s'appelle.... Amour propre

...j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les Mégaprojets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime, quand ça me plaît et à mon rythme. Aujourd'hui je sais que ça s'appelle.... Simplicité

...j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd'hui j'ai découvert .... l'Humilité

...j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.

Aujourd'hui je vis une seule journée à la fois. Et ça s'appelle.... Plénitude

...j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux.

Tout ceci est.... Savoir vivre

Thursday, May 24, 2012

Pourquoi la femme pleure-t-elle ?


Par Do :: 04/06/2007 à 18:58 :: Femmes, mamans
Un petit garçon demande à sa mère "Pourquoi pleures-tu ?"

"Parce que je suis une femme" lui répond-elle.

"Je ne comprends pas" dit-il.  Sa mère l'étreint et lui dit "Et jamais tu ne réussiras à comprendre..."

Plus tard le petit garçon demanda à son père "Pourquoi maman pleure-t-elle? Je ne comprends pas !"
"Toutes les femmes pleurent sans raison" fut tout ce que son père put lui dire.

Devenu adulte, il demanda à Dieu : "Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?"

Et Dieu répondit :
"Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. 
J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde; et assez douces pour être confortables".
Je lui ai donné la force de donner la vie celle d'accepter le rejet qui vient souvent des enfants.
"Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne. Celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel, même quand ces derniers l'ont blessée durement.
Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et, finalement, je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.

Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.  La beauté d'une femme réside dans ses yeux.  C'est la porte d'entrée de son  coeur - la place où l'amour réside. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.
 
S.V.P. Envoyez cela à toutes les belles femmes que vous connaissez. Encouragez l'estime de soi d'une autre femme ! Faites savoir que toutes les Femmes sont Belles.

Saturday, May 5, 2012

le chagrin est une émotion naturelle





C’est cette partie de nous qui nous permet de dire au-revoir alors que nous n’avons pas envie de dire au-revoir, d’exprimer, de pousser, de propulser, la tristesse intérieure ressentie lors d’une perte quelconque. Cela peut être la perte d’un être aimé ou la perte d’une lentille de contact.

Quand on a la possibilité d’exprimer son chagrin, on s’en débarrasse. Les enfants qu’on laisse être tristes lorsqu’ils se sentent tristes (vous seriez surpris de savoir combien d’enfants se voient refuser cette permission) ont lorsqu’ils ont grandi une conception très saine de la tristesse et par conséquent traversent rapidement leurs moments de tristesse d’adultes.

Les enfants à qui on dit: "C’est tout, ne pleure pas", (ou pire, à qui on demande: "Pourquoi tu pleures?" ou à qui on dit: "Ne pleure pas comme un bébé!") vont sans doute, et c’est compréhensible, éprouver beaucoup de difficultés à pleurer étant adultes. Après tout, on leur a dit toute leur vie de ne pas le faire. Donc ils répriment leur chagrin. Et ce n’est pas une bonne chose.

Un chagrin continuellement réprimé peut se transformer en dépression chronique, émotion qui n’a strictement rien de naturel. C'est pas la même chose que le chagrin. C’est du chagrin qui n’a pas été exprimé, qu’on retient. Ce qu’il y a avec le chagrin, c’est que nous voulons tous nous en débarrasser. Pourtant il est ironique de constater que le meilleur moyen de se débarrasser du chagrin, c’est de l’exprimer. C'est-à-dire d’avoir pleinement du chagrin. Et c’est ainsi qu’on s’en débarrasse en l’ayant, ce qui peut paraître paradoxal. Pourtant, c’est le meilleur moyen de mettre un terme au chagrin.

Si parmi vos proches quelqu’un vit un chagrin en ce moment, le mieux que vous puissiez faire est de le lui laisser. N’essayez pas de "consoler". Permettez au chagrin de s’écouler. Encouragez-le. Parlez-en, n’essayez pas de parler d’autre chose. Pénétrez dans le chagrin ("Cela doit être très dur pour toi en ce moment", "C’est sûr que tu dois être démoli par cette histoire", etc.), n’essayez pas de tourner autour du pot ("Allez, ça va aller", "Il ne voudrait pas te voir si triste", etc.)

Vraiment, je n’ai jamais compris les gens qui disent: "Ton mari, s’il était là, ne voudrait pas que tu pleures comme ça". Absurde. Si je meurs avant ma femme, j’ai envie qu’elle pleure.  Si je ne vaux même pas quelques gros sanglots, qu’est-ce que nous avons fait ici? Quand même, vraiment…

Donc n’essayez pas de détourner les autres, ou vous-mêmes, de votre chagrin, quelle qu’en soit la raison. Ayez votre chagrin. Le chagrin nous fait grandir. En examinant avec soin ce qui nous chagrine le plus profondément, nous parvenons à une connaissance de nous-mêmes et de nos valeurs les plus profondes, ainsi que de l’expression que nous voulons leur donner. Le chagrin nous apprend à être humains, remplis de compassion et d’affection profonde. C’est aussi un merveilleux outil  de relâchement qui nous permet d’évacuer nos émotions négatives.

Ressentez pleinement votre chagrin quand vous l’avez. N’essayez pas de le cacher et ne cherchez pas à le sublimer. Et quoi que vous fassiez, n’essayez pas de raccourcir le temps qu’il passe avec vous. Les gens qui vous disent: "tu as assez pleuré comme ça" pensent à leur propre bien-être, pas au vôtre. Vous avez "assez pleuré" quand vous cessez de pleurer. Et vous cesserez de pleurer d’autant plus vite que vous aurez bien pleuré.

Neale Donald Walsch

Saturday, April 28, 2012

L'alcool vous parle





Depuis des siècles, on me consomme, on me vend, on m'offre et on me vante.

Depuis des siècles, on m'enferme dans toutes sortes de récipients et on me boit dans tous les milieux.

Depuis des siècles, je suis l'objet d'un commerce qui rapporte des milliards et pourtant, bien peu de gens peuvent se vanter de me connaître vraiment. Jamais on ne m'a permis de parler. On se sert de moi pour toutes sortes de raisons, mais on prend bien soin de ne pas me donner la parole. Pourtant ! Si on m'avait demandé mon opinion : que de choses j'aurais pu vous apprendre. C'est pourquoi, aujourd'hui, devant le mauvais usage que l'on fait de moi, je suis décidé à vous dire toute la vérité à mon sujet.

Je suis un liquide ! Ça ! Vous vous en doutiez bien... mais un liquide pas comme les autres. Autrefois, avant la découverte de l'éther, on m'employait comme anesthésique pour pratiquer toutes sortes d'opérations.

De nos jours, on me trouve partout. On change mon goût âcre en me mélangeant à des essences telles que : la menthe, l'orange, le citron, etc. Je suis hypocrite et menteur ! Je peux entrer librement partout, personne ne semble se méfier de moi. Je coule à flots à l'occasion des baptêmes, des mariages, des funérailles. Je rate rarement l'occasion de me mêler à toutes sortes de conflits ; dans presque tous les meurtres, les hécatombes routières, les troubles de ménage et à peu près tous les crimes... JE SUIS LÀ !

Depuis toujours, je fais pleurer les mères et je fais souffrir les enfants. Pendant longtemps, je m'occupais presqu'exclusivement des hommes, mais aujourd'hui, je m'occupe très activement des femmes. J'en ai un très grand nombre sous mon emprise et à tous les jours, des millions d'entre elles, à travers le monde, ont recours à mes services. Je viens plus facilement à bout de leur dignité que le diable lui-même.

Je suis extrêmement puissant, rien ne me fait peur. Sans moi, beaucoup de médecins et de thérapeutes verraient leur clientèle diminuer considérablement. Je suis leur meilleur fournisseur ! JE SUIS LE MAL DU SIÈCLE ! Pourtant très peu de gens s'occupent à me combattre efficacement. On a vaincu bon nombre de maladies, mais moi, je suis plus en forme que jamais.

Malheureusement pour vous, tant que vous me traiterez avec autant d'égards, je pourrai continuer ma tâche qui se presume de vous détruire en plus grand nombre. Excusez mais, SI VOUS VOULEZ VIVRE HEUREUX... Tenez-vous loin de moi !

Mon Dieu, il est merveilleux.

Seigneur, lorsque je contemple ce monde, son immensité,
Sa complexité et sa fécondité, je constate ta puissance,
Ta sagesse et ta bonté.Je vois tant d'amour, de joie,
et de beauté. Mais il y'a aussi la souffrance,
La maladie, le mal et la mort.
Plusieurs se demandent
Pourquoi tu permet
La souffrance...

Mais pour moi seigneur Dieu, le plus grand mystère, c'est pourquoi tu accepte de souffrir...
Tu n'es pas un Dieu distant qui nous observe d'un oeil indifférent. Le mal t'attriste et
T'afflige. Certains disent que tu aurais dû creer un monde parfait, exemple de mal. Mais
serais-ce le monde meilleur, si nous étions contrainte à t'obeir? Tu ne veux pas des exclaves
Mais des enfants, libres de t'acceuillir ou de te rejeter. Et tu as voulu que ce soit un choix éclairé...
Tout comme la lumière luit dans les ténèbres, le bien se manifeste pleinement en presence du mal.
Comprendrai-je les merveilles de ta saintété sans avoir connu les effets néfastes du péché?
Verrais-je ta misericorde, si je n'avais nul besoin de pardon? Constaterais-je la magnitude de ton
Amour si tu ne m'avais pas aimé alors que j'étais ton ennemi? Decouvrirai-je ta justice si
Tu n'avais pas payé à un si grand prix le coût de ma revolte?
Mon éternel Dieu ,une bonté éternel.
Chers(es) lecteurs, quoique tu fasse et quique tu soit, mon Dieu t'aime, alors n'oubli pas, adore le.

Friday, April 27, 2012

Femmes, soyez bénies!


 
 
  Le temps passe. La vie court vite. Les distances séparent. Les enfants grandissent. Les occupations vont et viennent.

La passion diminue. Les hommes ne sont pas toujours ce qu’ils devraient être. Le cœur se brise.

Les parents meurent. Les collègues de travail oublient les services rendus. Les carrières professionnelles arrivent à leur terme. Mais...

Les amies sont toujours là. Peu importe le temps passé ou la distance qui vous sépare. Une amie n’est jamais trop loin lorsque tu as besoin d’elle.

Chaque fois que tu devras emprunter une route, et que tu auras à le faire seule, les femmes de ta vie seront tout autour du chemin, t’encourageant, priant pour toi, te poussant, intervenant pour toi, et t’attendant les bras ouverts au bout du chemin.

Il arrivera même parfois qu’elles rompent les règles et qu’elles cheminent à tes côtés ou qu’elles te soulagent de tous tes fardeaux.

Amies, filles, grands-mères, sœurs, belles-sœurs, mères, belles-mères, petites-filles, tantes, cousines nièces et toute notre famille sont une bénédiction de la Vie.

Le monde ne serait pas le même sans les femmes. Lorsque tu as commencé cette aventure d’être Femme, tu n’avais aucune idée des incroyables joies et des douloureuses épreuves qui t’attendaient. Tu ne savais pas non plus à quel point vous auriez besoin les unes des autres.

Chaque jour, continue à avoir besoin d’elles !

Le bonheur




  Le bonheur n’est pas accroché à la lune,
Suspendu à quelque astre lointain ;
Il n’est pas sur Jupiter, Mars ou Neptune,
Mais à portée de main.

Le bonheur n’est pas au delà des mers,
Dans un monde céleste, merveilleux, incertain…
Il est sur notre propre terre,
A portée de main.

Le bonheur n’est pas sur une île lointaine,
Quelque part sur l’Océan terrible :
Il est chez nous, dans la plaine,
Dans ta maison paisible.

Le bonheur n’est pas dans un château grandiose,
Habité par des reines et des rois ;
Il est dans ton jardin de roses,
Dans ta maison de bois.

Le bonheur n’est pas dans une nuit vénitienne,
Faite de musique et d’amour,
Il est dans les choses quotidiennes,
Que tu retrouves chaque jour.

Le bonheur n’est pas dans quelque grande ville,
Où l’on parle de richesses et de joie ;
Il est dans ta chambre tranquille,
Tout près de toi.

Le bonheur n’est pas dans les choses qu’on espère,
Et qu’on réclame du lendemain ;
Il est dans celles qui nous entourent,
Et qui reposent entre nos mains.

Thursday, April 26, 2012

Avez-vous un plan ?


Auriez-vous l’idée de construire une maison sans au
préalable avoir un plan ?
Quelqu’un m’a raconté l’histoire suivante :
Un jour, le président d’une importante société se
présente à son bureau très tôt le matin, un peu avant
huit heures.
À sa grande surprise, il y a déjà quelqu’un qui
l’attend.
- Bonjour monsieur, dit le PDG. Que puis-je faire
pour vous à cette heure ?
Avez-vous un rendez-vous ?
- Eh bien non, dit l’inconnu, j’ai tenté d’en obtenir
un mais en vain, c’est pourquoi j’ai pensé venir vous
attendre car il est très important que je vous parle.
- Vous avez de la chance qu’il soit si tôt et que j’aie
un peu de temps devant moi. Venez dans mon bureau,
je vous accorde dix minutes pas plus.
L’inconnu s’installe timidement tenant à la main sa
petite mallette.
- Alors ? fait le PDG.
- Bien voilà monsieur, je commence un nouvel
emploi et j’aimerais avoir quelques conseils de
quelqu’un qui a réussi, enfin d’une personne comme
vous.
- Et qu’est-ce que vous vendez ? demande le PDG.
- Heu... de l’assurance vie, monsieur, et on m’a dit
que ce n’était pas facile à vendre.
- Tout d’abord, le premier conseil que j’aurais à
vous donner, c’est de vous habiller convenablement et
de soigner votre personne. La cravate que vous portez
ne convient pas à votre costume qui est d’ailleurs un
peu froissé.

En plus, pour faire bonne impression, essayez de
vous raser avant de rencontrer votre premier client de
la journée.
- ... Avez-vous besoin d’assurance ? demande
l’inconnu.
- Écoutez mon ami, dit le PDG, vous n’allez pas
conclure beaucoup de ventes, si vous vous y prenez de
cette façon, car pour réussir dans la vente, ça prend un
plan. Un plan de travail, un plan pour organiser vos
rendez-vous, un plan pour amener le client éventuel à
penser qu’il a besoin d’assurance, un plan pour
conclure votre vente. Si vous n’avez pas de plan, vous
n’y arriverez jamais.
- Je ne vous dérangerai pas davantage monsieur,
vos conseils sont justes. Je vais m’y mettre en sortant
de votre bureau. Je vous dis un gros merci pour le
temps que vous m’avez accordé.
- Écoutez, surtout ne vous découragez pas, car j’ai
trouvé astucieux votre truc de venir m’attendre si tôt à
la porte de mon bureau. Ça prend du courage et de
l’audace. Et honnêtement pour vous encourager dans
votre nouvelle carrière, je vais vous souscrire une
police d’assurance de $ 5,000.00 dollars.(250.000 cfa)
Une fois tous les papiers signés, l’inconnu remet le
chèque dans sa petite mallette et tend la main au PDG.
- Monsieur le président, merci beaucoup. Voyezvous
mon plan, c’était ça...

Et vous, quel est votre plan? Il faut toujours en avoir!

Wednesday, April 25, 2012

Ma vie m'appartient!



Nous sommes tous nés sous une bonne étoile.
Nous aimons parfois croire que nous ne sommes pas responsables
Du cours de notre existence et nous blâmons nos parents,
Notre conjoint ou la société pour nos difficultés. 
Cette attitude est un obstacle à notre progression. 
Il convient de nous recueillir et d'accepter pleinement,
Avec amour et compréhension, ce que nous sommes maintenant.  
Nous venons d'un foyer désuni ? La leçon d'amour a été difficile 
Mais elle était nécessaire, nous pouvons en être certains. 
Nous n'avons pas d'emploi ?  
Sans doute est-ce le temps pour nous 
de faire une mise au point, 
d'apprendre comment nous attirons tel ou tel événement 
dans notre vie, d'amorcer intérieurement un changement 
de direction vers l'abondance et la joie.
Notre attitude intérieure est importante dans la détermination 
Des conditions présentes et ultérieures de notre vie.
 « La source de toute abondance ne se trouve pas à l'extérieur de vous, 
Elle fait partie de ce que vous êtes. Commencez cependant par reconnaître
L'abondance à l'extérieur de vous. Voyez la plénitude de la vie, la chaleur du soleil
Sur votre peau, les magnifiques fleurs dans la vitrine du fleuriste, 
Le fruit succulent dans lequel vous mordez ou l'abondante pluie qui tombe du ciel 
Et vous trempe. La plénitude de la vie est dans tout. 
Quand vous reconnaissez l'abondance qui est autour de vous, 
L'abondance latente en vous s'éveille. »

LUNDI MAUDIT


Lorsque vous quittez la maison tôt le matin pour
vous rendre au travail, vous n’avez aucune idée de ce
que vous réserve la journée.
Pourtant dès votre réveil vous avez pu constater que
durant la nuit, une panne d’électricité s’est produite,
pas très longue, direz-vous, mais vingt minutes indique
votre réveil matin.
Vous constatez également qu’à cause de cette
panne, votre rasoir électrique qui était sur la charge,
s’est arrêté.
Vous devez vous raser à la main, avec une lame qui
ne coupe plus et en plus ce n’est qu’à ce moment que
vous vous rendez compte que vous avez oublié
d’acheter de la mousse à raser.
Dans son empressement à récupérer ces vingt
minutes de retard, votre femme a déchiré sa dernière
paire de bas. Il vous faut courir lui en acheter.
Arrivé au magasin, vous devez retourner chez vous
pour chercher votre argent laissé dans la poche de vos
pantalons de la veille...
Enfin vous voilà au volant de votre voiture en
direction du bureau, mais la circulation est bloquée. Six
voies d’accès à un pont qui n’en compte que trois.
À la radio on donne l’état de la circulation et les
minutes d’attente éventuelles partout ailleurs, sauf
pour l’endroit où vous êtes.
Vous pianotez d’impatience sur votre volant
lorsqu’un petit futé, utilise l’accotement sur votre
droite et vient couper droit devant vous.
Le policier en charge de la circulation fait passer
tout le monde, y compris celui qui vous a coupé, et
sifflet entre les dents, vous fait signe de la main
d’attendre :
Votre tour viendra...
Vous avez beau faire une crise de nerfs, taper sur le
tableau de bord, dépenser une somme extraordinaire
d’énergie nerveuse, vous êtes toujours au même
endroit.
Si c’est là votre comportement, lisez la suite.
Si au contraire vous acceptez calmement la
situation et que vous en profitez pour écouter la radio,
pour examiner la mine des autres conducteurs en vous
faisant un jeu de ce que chacun peut bien faire dans la
vie ou que vous en profitez pour organiser votre
journée, et bien, c’est aussi une raison de lire la suite...